Sandra Burlon : « Ils étaient dans une certaine appréhension, ce qui est tout à fait naturel lorsqu’on accueille autant de personnalités au même moment et qu’on est confrontés à un service aussi exceptionnel que celui-ci avec des accords mets-vin sur chaque plat. D’habitude, ils ont un office plutôt simple et réduit qui autorise la mise en pratique de techniques de base, découpe, service du vin, etc., mais ce n’est jamais aussi spectaculaire. Ils avaient forcément la pression, moi aussi d’ailleurs. Des imperfections ? Il y en a eu peut-être, mais M. Marx les a rassurés et encouragés. L’objectif, leur a-t-il dit, n’est pas de désigner des coupables mais de s’améliorer. Une approximation n’est pas une faille, c’est un levier d’apprentissage nécessaire, un tremplin pour progresser. »

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